" ... Quelques mois ont maintenant passé et j'en suis venu à me poser la question suivante: Dans quelle mesure est-ce que la douleur ne pourrait pas être remplacée par le plaisir, comme sentiment principal capable de reléguer le parkinson à l'arrière plan? |
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Le plaisir n'est pas toujours inaccessible. On peut en trouver de bonnes quantités dans la discussion avec son entourage, dans l'écoute d'un disque, dans un plat de sgaghettis, dans la lecture d'un livre, dans le sourire d'une femme, dans une rêverie solitaire ou une promenade en forêt. |
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Il est vrai que de tels plaisirs exigent un certain effort. Parfois difficile, mais combien plus gratifiant qu'une résistance passive aux symptômes. " |
Extrait du texte "L'autre maladie" de Bernard Py, participant au groupe |
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